Good Old Games nous offre un instant de poésie tragique avec I Have No Mouth And I Must Scream
I Have no Mouth and I Must Scream raconte une histoire bien compliquée. Dans un futur quelconque l’humanité abandonne la gouvernance du monde à des super ordinateurs. Une troisième guerre mondiale éclate, les IA fusionnent, l’humanité est éradiquée à l’exception de quelques sujets choisis on ne sait trop pourquoi. Ils sont cinq il me semble. La super IA restante, amère de ne pas être vivante si je me souviens bien, les torture éternellement en prenant soin de les maintenir en vie.
La phrase finale « Je n’ai pas de bouche et je dois hurler » est la pensée du dernier humain qui est parvenu à tuer les quatre autres, à les libérer de leur souffrance donc, alors que lui n’est plus qu’une masse informe, immortelle, emprisonné pour l’éternité dans cette vie de néant par la machine furieuse.
En ce 25 décembre 2021, Good Old Games a rendu ce jeu gratuit pendant quelques heures, prévenant ses abonnés de venir chercher leur cadeau.
En voyant la couverture du jeu, j’ai cru un instant que j’allais me mettre à pleurer.
La main mécanique couvrant la bouche d’un humain ne peut pas ne pas faire penser à un de ces masques inutiles qu’on nous force à porter pour nous faire croire qu’il y a réellement une épidémie. Il y a eu une épidémie oui, au pringtemps 2020, d’une maladie parfaitement gérable dont on a volontairement augmenté l'impact au maximum, en interdisant aux médecins de prescrire des médicaments, en laissant les hôpitaux être débordés, en se jetant sur des vaccins qui ne l'arrêteraient pas et la feraient évoluer, tout ça en effrayant les gens au maximum avec des mensonges et des tests PCRs qui donnent des faux positifs dans une proportion que je n'oserai pas prononcer ici. Cette épidémie fabriquée est terminée. Elle a prit fin en Avril 2020 (voir Norman Fenton). Omicron est un vieux débris moins dangereux qu'un Big Mac.
Mais la virulence avec laquelle on nous pousse vers thérapie géniques (Appelée vaccins) et piqûres et re-piqûres et re-re-piqûres, et re-re-re-piqûres, cette virulence ne s’est pas arrêtée elle, elle continue, elle s’amplifie. Inacceptable à la base, elle est devenue à ce stade complètement fasciste et folle. A un moment donné, il faut tout de même se demander ce que cache cet acharnement.
Certainement pas une bienveillance secrète. Il faut être sacrément lâche pour oser se faire croire qu’il y a une bienveillance quelconque dans toutes ces mesures. Nous le savons, nous ne sommes que des veaux sacrifiables à souhait pour ceux qui prennent les décisions depuis trois ans. La pass vaccinal, c'est le vaccin forcé sans qu'il y ait besoin de maladie derrière. Une magnifique porte ouverte à ce qu'un jour, votre booster 243 ne soit pas de l'eau salé mais contienne quelque chose d'autre qui ne vous veut pas du bien.
La main robotique qui couvre la bouche du pauvre humain n’est pas qu’une plaisanterie sombre et critique du port du masque de la part de Good Old Games, c’est la parfaite description de ce qui est en train de se passer.
La menace qui pèse sur nous est bien celle-là : celle de nous faire emprisonner dans notre propre corps par une entité déshumanisée, mécanique dans le sens de son absence totale d’affect ou de compréhension de ce qu’est le vivant. Les vieux, les jeunes, les hommes, les femmes, les enfants, tout le monde est en train de se faire injecter un truc, virtuellement tous en même temps, plus rapidement qu'un mandat présidentiel répugnant, pendant qu'on ostracise ceux qui résistent légitimement. Le pass vaccinal n'a aucune justification, il y a de bonnes raisons de penser que derrière le mur de mensonges, l'épidémie qui n'a jamais mérité l'appellation de pandémie est terminée ou sur le point de l'être.